
Halley Corporation a une histoire, faite de lumière et d’ombre, de conquêtes et de chutes.
Ce récit ne cherche ni à enjoliver, ni à dissimuler. Il assume les erreurs, célèbre les victoires et puise dans chaque épreuve une leçon.
Car c’est dans la vérité que naît la force. Voici l’histoire d’une ambition : voici la Halley Corporation.
Chronologie

05.2950
La fondation
2950 - 2952
L’expansion
2953
La déchéance
2954
Le retour incertain
11.2955
La refondation
La Halley Corporation naît en 2950, fruit de l’alliance entre deux hommes aux destins complémentaires : Nariu Di Halley, héritier d’une fortune bâtie sur le commerce discret d’armes, visionnaire et “homme de lumière” de la corporation, et Laogide Xarceitt, capitaine de vaisseau lourd de l’UEE, habitué aux routes périlleuses du transport de marchandises, “homme de l’ombre” garant de la rigueur opérationnelle.
Dès ses débuts, Halley Corporation se positionne comme une corporation incontournable de croisières, où la présence à bord est une expérience immanquable, mais aussi dans le transport de marchandises, le convoyage VIP et l’extraction.
Grâce à une économie florissante, la corporation se diversifie rapidement : création de filiales, rachats de sociétés, investissements multiples.
Symbole de cette prospérité démesurée, l’acquisition d’une tour monumentale sur ArcCorp, vitrine de prestige et de puissance. Halley Corporation devient alors un acteur majeur, reconnu pour son ambition et son image de fiabilité
Mais l’ascension attire les prédateurs. Des requins financiers orchestrent des OPA hostiles, fragilisant les filiales et siphonnant les actifs. Les investissements mal maîtrisés et la spéculation effrénée précipitent la corporation dans une faillite retentissante.
À la fin de l’année, Nariu Di Halley démissionne, quittant Stanton pour le système Sol, laissant son ami Laogide Xarceitt seul aux commandes d’une structure affaiblie
Nariu revient à son poste de CEO, animé par la volonté de redonner vie à son œuvre. Avec l’appui fidèle de Laogide, il tente de relancer Halley Corporation par de nouveaux rachats et investissements.
Mais la stratégie échoue : la société reste engourdie, incapable de retrouver son éclat passé.
Sous l’impulsion pragmatique de Laogide Xarceitt et l’optimisme indéfectible de Nariu Di Halley, une décision radicale est prise : liquidation totale des filiales, des marques et des biens immobiliers de Stanton, y compris la fameuse tour d’ArcCorp.
De ces ruines naît une nouvelle fondation : Halley Corporation se recentre sur ses activités primaires – sauvetage, transport, récupération, fret et croisières – considérées comme le cœur battant de son identité. Tout le reste de l’organisation est désormais conçu pour soutenir ces cinq piliers, symboles de fiabilité, de prestige et de prospérité partagée